Ces dernières temps les sponsors du régime des Inkotanyi, un régime champion toutes catégories confondues dans ce qui apparaît comme un sport national: enlèvement, assassinats, viols, terrorisme, crimes de guerre, crimes contre l’humanité, génocide… semblent embarrassés par le sort de l’autre Paul à eux, Paul RUSESABAGINA. Et il y a de quoi, c’est aussi un dossier qui attire beaucoup d’attention et de lumière sur une région qu’on voudrait garder dans le noir. Qui est au courant du sort des réfugiés hutu rwandais dans les forêts congolaises ? Une omerta totale. Diabolisés pour mieux les exterminer sans défenseur loin des caméras dans un huit clos très intime. Ces regards indiscret ne manqueront pas de remarquer la lutte acharnée et inégale pour mettre à terme au régime de Paul KAGAME et les siens et le problème des réfugiés. Le monde entier devrait découvrir l’ampleur des conséquences politique d’un régime impitoyable renfloué financièrement à coup de milliard de dollars par an par les suprématistes blancs. Également, un des enjeux politiques et défis à relever, c’est de poursuivre en justice les pays, médias, les multinationales, universités et les institutions financières qui ont permis et permettent les Inkotanyi de réaliser leurs macabres projets. La somme des dommages et intérêts est considérable et évaluable à 1 000 milliards de dollars en tenant compte d’une action commune avec les citoyens congolais. Chacune et chacun citoyens rwandais doit en prendre conscience et ne pas brader la future richesse du Rwanda en contractant des alliances en postures des mendiants. Les politicards qui rêve doubler Paul KAGAME et les siens auprès de ses sponsors risquent d’échanger notre richesse pour des fauteuils des bureaux. C’est par la force que les suprématistes blancs lâcheront le régime des suprématistes tutsi. Ils se sont engagés auprès de Paul KAGAME et les siens pour le meilleur, le pire on est en droit de douter et ils se sont trempés jusqu’au coup. Il ne reste qu’à tirer dans le tant pour pousser au soulèvement du grand public désintéressé dans le monde dominant contre les agissements des leurs élus. Un voyage dans l’inconnu vous dites ? 10 personnes et à des intervalles réguliers peuvent débloquer les choses à moins de 10 000 euros. Une seule personne serait prise pour une aliénée.
Que Dieu soit loué à un prix raisonnable
Depuis l’existence des Inkotanyi, le monde a toujours été spectateurs des massacres de masse et les médias dominantes ont joué et jouent un rôle de pom-pom girls, il en sera ainsi une nouvelle fois de plus à moindre occasion. Abstenez-vous à des appels au soulèvement car c’est dans le sang la horde d’assassins va réprimer les manifestations. Que celui qui veut donner sa vie qu’il choisi un lieu où son action sera mémorable. Là où sa vie aura un aura et un impact mondial. La main généreuse à la horde d’assassins de Kigali est une main sans pitié, c’est une main complice. C’est une main tranchante, odieuse et pervers. C’est cette main là qu’il faut cibler. Ça s’appelle sème la discorde chez l’ennemi. Peu de monde au 21ème siècle, au courant du malheur du peuple ruandais, n’ont pas manqué de remarquer la façon dont les suprématistes blancs nous narguent avec leurs rapports sur l’état de la violation du droit de l’homme au Rwanda comme si le régime qui en est auteur n’est pas leur obligé plébiscité dans le monde entier via leur médias. On nous miroite les réussite économique d’un régime génocidaire, génocidaire faute d’un mot plus fort, comme si la convoitise des richesses d’un tel genre d’individus est recommandable. Le président américain Bill Clinton a dit un jour que Paul KAGAME est leur genre d’homme. Est-il à l’image de l’Amérique blanche, noire ou l’Amérique tout court ? Sa sœur Louise Mushikiwabo, elle, qui a revendique le meurtre du Colonel KAREGEYA est à l’image de la France libre de monsieur Macron et sa francophonie. Dans la collection des prix de votre champion, il n’est lui manquer que le prix Nobel de la paix. Pensez-y !
La vérité insupportable
L’autre actualité du moment au Rwanda qui défraie les chroniques ; c’est l’irruption de Madame Iryamugwiza Yvonne Idamange dans le débat public. Actuellement, le FPR INKOTANYI a activé son bouclier de dôme de fer à la rwandaise pour abattre en air cette jeune femme comme il se doit pour tout l’umugome n’umugambanyi quelqu’il soit. Attendez par là, le bouclier de dôme de fer à la rwandaise toutes les institutions et associations qui gravitent autour du génocide dit tutsi pour abriter les génocidaire Inkotanyi. Umugome n’umugambanyi c’est le dissident du régime et le conspirateur. Leur sort est énoncé dans le serment d’adhésion, d’adhésion de gré ou de force dans le parti ; c’est simplement une administration de la mort. Qu’a-t-elle fait ou dit de choquante pour s’attirer les foudres des suprématistes tutsi ? Entre autres elle est accusé d’accuser le lion Inkotanyi d’avoir fait du génocide dit tutsi un fond de commerce. Et pourtant, le plus choquant est ailleurs dans l’organigramme du CNLG ; vous y trouvez un service intitulé : CUSTOMER CARE OFFICER au sein du département FINANCE AND ADMINISTRATION UNIT. En français c’est un service clientèle dans le département d’administration et finance. Ingabire Marie Immaculée et le Dr Jean Damascène BIZIMANA, Tom Ndahiro… ont des explications à donner au grand publics sur la nature des produits et services de l’activités lucrative du CNLG. Évidemment qu’il y a bel bien un business autour du génocide dit tutsi le souci pour un grand nombre des gens ce n’est pas votre recette. C’est votre culture et tradition politique Nyiginya-Tutsi autour des dépouilles des corps humains. Une odieuse et obscène pratique qui intrigue plus d’une personne. Désormais il est de notoriété publique que le génocide dit tutsi génère de la richesse. C’est lisible sur l’organigramme du CNLG.
Liberté pour Madame Idamange Yvonne Iryamugwiza.
Une fois de plus, l’incompétence du Dr Jean Damascène BIZIMANA est flagrant: Comment se fait-il qu’ils n’ont pas trouvé un nom plus neutre du genre: service de gestion des échanges (avec l’)extérieur. Tout ce monde hautement diplômés qui s’engraisse au CNLG à quoi servent-ils en dehors de la propagation de la haine primaire et aveugle dans la société rwandaise ? Ce n’est pas l’intelligence qui manque au Rwanda c’est la conscience des hommes et femmes au pouvoir qui fait défaut. Paul KAGAME et les siens doivent prendre conscience de l’intolérable ligne de défense qui consiste à promouvoir la politique suprématiste tutsi sous un déguisement judiciaire. Leur gouvernement doit fermer toutes les institutions et associations qui gravitent autour du génocide dit tutsi, d’une part elles exercent en dehors des textes légaux et d’autres part elles sont nuisible à la cohésion sociale. Le cas du CNLG avec son service à la clientèle le prouve bien. Elles s’occupent plus de la politique et négliger leur rôle principal. Quant aux instances internationales, la lutte contre les suprématistes tutsi doivent être leur souci.
Source: The Rwandan
Moment de l'arrestation d'Idamange Yvonne à son domicile par la police rwandaise le 15 février