Nous dénonçons la répression brutale du gouvernement de Javier Milei et de la ministre de la sécurité Patricia Bullrich, responsables des actes de violence dans les rues et sur la Plaza de los Dos Congresos.

Le peuple a le droit de se manifester et d’exiger que « LA PATRIE N’EST PAS A VENDRE », face à la politique gouvernementale de destruction de l’Etat et de privatisation des entreprises nationales.

L’action de la police, de la gendarmerie et de la préfecture s’inscrit dans le cadre du protocole de sécurité qui a été appliqué pour empêcher les organisations syndicales, les organisations de défense des droits de l’homme et les partis politiques de se rendre au Congrès. Nous exigeons la libération immédiate des détenus et une commission d’enquête sur la répression, l’utilisation de gaz lacrymogènes, de balles en caoutchouc et la violence des forces de sécurité contre les manifestants.

La session du Sénat sur la Loi Bases est en train d’être débattue et certains sénateurs ont dénoncé les menaces que le gouvernement a proférées à l’encontre de leurs personnes et de leurs familles.

ARRÊTEZ LA RÉPRESSION CONTRE LE PEUPLE.

 Chasse aux manifestants et répression dans la zone du Congrès de l'Argentine (El Destape, 13.06.2024)