Le conflit de l’Afrique des Grands Lacs devient exemplaire et révélateur sur qui sont-ils et comment fonctionnent ces grands «philanthropes» qui dirigent le monde et qu’ils mènent à la catastrophe.

Les hommes les plus puissants des multinationales, la finance, la politique et les médias sont les inducteurs de la grande «réorganisation» de cette région ou collaborateurs nécessaires. Une telle réorganisation a été déterminée à partir des zones au-delà du cadre restreint des Etats, peu importe la façon dont ils sont puissants. À son tour, la position scandaleuse et généralisée des médias de masse face à ce conflit ne peut pas être expliqué sans décisions prises au niveau des dômes d’édition. De nombreux autres médias ont été incapables de sortir du script officiel de peur d’être hors-jeu.

La quasi-totalité des personnages qui ont occupé des postes clés dans ce conflit font partie des clubs puissants comme la Commission Trilatérale. Clubs étroitement liés entre eux, clubs qui sont «au-delà» des institutions politiques, qui sont au-dessus d’elles ou qui en sont leur centre le plus secret.

Joan Carrero, président de la Fondation Olivar de Mallorca et promoteur du Forum international pour la Vérité et la Justice de l’Afrique des Grands Lacs.