2.2. À la recherche de nouvelles pandémies ou d’autres raisons pour justifier le passeport « vert » et exterminer discrètement la population « excédentaire » [Joan Carrero, 16.02.2022]

Nos sociétés en état de choc sont incapables de reconnaître l’évidence de l’offensive finale des grands « philanthropes »

Deuxième partie

2.

À la recherche de nouvelles pandémies ou d’autres raisons pour justifier le passeport « vert » et exterminer discrètement la population « excédentaire »

Tant que nous ne serons pas capables de faire face au fait troublant que l’Occident a malheureusement évolué au cours des dernières décennies au point d’être presque entièrement contrôlé par une très petite élite de personnes extrêmement arrogantes, élitistes et excluantes jusqu’à la perversion, nous ne pourrons pas nous libérer de leur domination. Nous ne pourrons pas nous libérer de la désinformation et de la propagande écrasantes de leurs médias d' »information » et de « communication ». Nous serons condamnés à répéter sans cesse, comme d’éternels « conspirationnistes », des situations aussi tragiques que celles que nous vivons actuellement.

Il s’agit de personnes qui se sentent tellement supérieures au reste des mortels qu’elles s’estiment autorisées à disposer de nos vies et à organiser le monde selon leur caprice. Ce sont des personnes capables de réaliser une extermination encore plus grande que celle de leurs ancêtres esclavagistes ou de leurs géniteurs nazis ou financeurs du nazisme. Ce sont des personnes qui semblent fermement décidées à exécuter enfin, étape par étape, les dernières phases de leur projet infernal, longuement préparé et élaboré.

Les derniers jours du Culte Covidien

En effet, de nombreux indices montrent qu’ils ne vont pas se résigner à ce que l’Élan vital qui anime l’Univers et l’Histoire arrête définitivement leur projet criminel. En cette heure critique pour l’humanité, cette impulsion vitale a déjoué leurs prévisions et arrêté leur programme pour le moment grâce à l’émergence de la variante Omicron, qui agit comme une véritable immunisation naturelle qui rend inutile la folie d’une dangereuse vaccination massive. Mais la manipulation de l’information massive est d’une telle intensité que la plus grande confusion règne encore dans nos sociétés. Comme l’expose habilement CJ Hopkins dans son article intitulé « Les derniers jours du Culte Covidien », ce n’est pas encore fini :

« La simulation de la ‘crise sanitaire mondiale’ est, à tous les effets, terminée. Ce qui signifie que GloboCap a fait une grosse erreur. Le fait est que, si vous avez l’intention de maintenir les masses dans une frénésie de paranoïa à propos d’une « pandémie mondiale apocalyptique », vous devez à un moment donné produire une véritable pandémie mondiale apocalyptique. Les fausses statistiques et la propagande vous permettront de vous en sortir pendant un certain temps, mais à un moment donné, les gens devront faire l’expérience de quelque chose qui ressemble au moins à un fléau mondial dévastateur, en réalité, et pas seulement sur leurs téléphones et leurs téléviseurs.

[…]

Beaucoup de ces personnes (c’est-à-dire les non fanatiques) commencent à soupçonner que ce que nous, les ‘extrémistes anti-vaccins, au chapeau d’aluminium, négateurs de la Covid, théoriciens de la conspiration’, leur disons depuis 22 mois n’est peut-être pas aussi fou qu’ils le pensaient au départ. Ils reviennent en arrière, rationalisent, révisent l’histoire et inventent toutes sortes d’absurdités intéressées […].

Ce qui… c’est très bien, laissez-les se dire ce qu’ils ont besoin de se dire au nom de leur vanité, ou de leur réputation de journalistes d’investigation, de gauchistes célèbres ou de révolutionnaires de Twitter. Si vous pensez que ces membres ‘récupérés’ de la secte Covidienne vont reconnaître publiquement tous les dommages qu’ils ont causés à la société, ainsi qu’aux individus et à leurs familles, depuis mars 2020, et encore moins s’excuser pour tous les abus qu’ils ont infligés à ceux d’entre nous qui ont dénoncé les faits… et bien, ils ne vont pas le faire. Ils vont tourner, équivoquer, rationaliser et mentir carrément, tout ce qu’il faut pour se convaincre et convaincre leur public que, lorsque la merde a frappé le ventilateur, ils n’ont pas claqué des talons et fait le ‘bon allemand’.

Frappez ces gens durement si nécessaire. Je me sens aussi en colère et trahi que vous. Mais ne perdons pas de vue ce qui est en jeu ici. Oui, le récit officiel s’effondre enfin, et le Culte Covidien commence à imploser, mais cela ne signifie pas que ce combat est terminé. GloboCap et ses marionnettes au gouvernement ne vont pas annuler tout le programme « New Normal », faire comme si les deux dernières années n’avaient jamais existé et se retirer gracieusement dans leurs luxueux bunkers en Nouvelle-Zélande et leurs méga-yachts.

Les mouvements totalitaires et les cultes de la mort ne se laissent généralement pas abattre avec élégance. Elles se transforment généralement en une orgie de violence nihiliste, alors que le culte ou le mouvement tente désespérément de maintenir son emprise sur ses membres vacillants et de se défendre contre la réalité qui l’envahit. Et c’est là où nous sommes en ce moment… ou là où nous allons être très bientôt.

Dans le monde entier, des villes, des États et des pays poursuivent la mise en œuvre de la société de biosécurité de la nouvelle normalité, bien que pour cela il n’y a pas de justification plausible. L’Autriche poursuit la ‘vaccination’ forcée. L’Allemagne s’apprête à faire de même. La France met en place un système de ségrégation nationale pour punir les ‘non-vaccinés’. La Grèce impose des amendes aux retraités ‘non vaccinés’. L’Australie gère des ‘camps de quarantaine’. Écosse. Italie. Espagne. Les Pays-Bas. New York. San Francisco. Toronto. La liste est longue, longue et longue.

Je ne sais pas ce qui va se passer. Je ne suis pas un oracle. Je suis juste un satiriste. Mais nous nous rapprochons dangereusement du point où GloboCap devra devenir fasciste s’il veut finir ce qu’il a commencé. Si ça arrive, les choses vont devenir très moches. Je sais, les choses sont déjà moches, mais je parle d’un tout autre genre de mocheté. Pensez à Jonestown, aux derniers jours d’Hitler dans son bunker, ou aux derniers mois de la famille Manson.

C’est ce qui arrive aux mouvements totalitaires et aux cultes de la mort lorsque le charme est rompu et que leurs récits officiels s’effondrent. Quand ils tombent, ils essaient d’emporter le monde entier avec eux. Je ne sais pas pour vous, mais j’espère que nous pourrons éviter cela. D’après ce que j’ai entendu et lu, ce n’est pas très amusant. »

En effet, ces personnes ne se résignent pas facilement après l’Omicron et n’ont pas encore perdu la bataille de la confusion régnante qu’elles ont créée. Il ne s’est pas évaporé comme par magie. Comme le disait Albert Einstein, l’inertie mentale est encore plus forte que la puissante inertie physique. Par exemple, bien qu’Anthony Fauci ait déjà dû répondre devant le Congrès américain pour avoir financé à coups de millions l’équipe de scientifiques américains de Wuhan qui a expérimenté le gain de fonction du SARS-CoV-2, une grande masse d’ignorants téléaddicts continue à se demander si le virus est apparu naturellement ou s’il est sorti d’un laboratoire.

Beaucoup d’entre eux sont même convaincus que croire à la seconde de ces deux possibilités n’est que l’œuvre des conspirationnistes. Cette conviction n’est pas accidentelle mais le résultat de techniques élaborées de manipulation psychologique de masse. Ni les uns ni les autres n’ont la moindre idée des percées dans le domaine des armes biologiques. Ils ne semblent pas non plus se rendre compte que les « prédictions » sans équivoque de personnes comme Bill Gates ne sont rien d’autre que la proclamation publique menaçante du programme des élites.

SARS-CoV-2 – Influenza aviaire – SIDA

Ils n’ont pas non plus la moindre idée que l’organisation américaine « à but non lucratif » EcoHealth Alliance a déjà reçu des subventions des National Institutes of Health (NIH), dirigés par Fauci, et du Pentagone, par l’intermédiaire du NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, une composante des NIH, qui est un groupe d’entités rattachées au ministère américain de la santé et des services sociaux) et l’Agence de Réduction des Menaces pour la Défense (DTRA), plus de 112 millions de dollars pour de telles activités « sanitaires » ou, tout au plus, « défensives », mais jamais agressives ou criminelles.

Dans une lettre adressée à la Chambre des représentants des États-Unis, le NIH affirme que EcoHealth Alliance a violé les conditions de la subvention AI110964 du NIH et a omis de déclarer toutes ses activités en Chine. Ils ont trahi leurs bailleurs de fonds « naïfs ». Quel malheur de trahir des gens aussi nobles, aussi désintéressés et uniquement préoccupés par le bien-être des populations, des gens incapables de penser du mal d’autrui, alors qu’ils ont de nombreux précédents infâmes dans de précédentes pandémies!

Selon la lettre du NIH, une « expérimentation limitée » a été réalisée pour tester si « les protéines spike des coronavirus de chauve-souris circulant naturellement en Chine étaient capables de se lier au récepteur ACE2 humain dans un modèle de souris ». Quelle malchance, combien de coïncidences, maintenant ils ont le malheur d’être injustement associés à la protéine spike, qui cause déjà tant de mortalité! Ce qui n’est pas clair, c’est pourquoi le président de l’Alliance EcoHealth, Peter Daszak, admet dans une vidéo de 2016 que ses collègues en Chine développaient des coronavirus tueurs.

Ni pourquoi il a lui-même orchestré en février 2020 une puissante campagne dans The Lancet avec le soutien de 27 scientifiques pour imposer au monde la thèse de l’origine animale « incontestée » du SARS-CoV-2. Dans leur lettre, les 27 auteurs ont condamné « fermement les théories de la conspiration suggérant que le Covid-19 n’a pas d’origine naturelle », et signalent que les scientifiques de plusieurs pays « concluent de manière écrasante que ce coronavirus provient de la faune sauvage ».  Tout cela sans la moindre preuve ou référence scientifique pour réfuter la théorie d’un virus créé en laboratoire. Les preuves qui existent, cependant, sont les emails de toute cette machination.

Et si nos sociétés n’ont pas encore pris connaissance d’un événement passé aussi capital et bien documenté, elles apprendront encore moins que ces élites, qui ont placé le criminel Fauci dans une position de pouvoir aussi énorme que celle qu’il occupe actuellement, ont repris leurs activités habituelles (elles ne se sont jamais vraiment arrêtées): elles continuent à financer de nouvelles expériences de gain de fonction, maintenant de la très dangereuse influenza aviaire. Oseront-ils rendre plus transmissible et utiliser pour leur projet diabolique un virus qui a déjà provoqué un taux de mortalité de près de 60% chez l’homme (contre moins de 1% pour le SARS-CoV-2) chez les centaines d’humains qui ont été infectés?

En effet, il y a tout juste deux semaines, dans un article consacré à la forte apparition récente de l’influenza aviaire en Europe, on pouvait lire : « La circulation en Europe d’une souche hautement transmissible, le H5N1, capable de faire le saut des espèces à l’homme, a déclenché des signaux d’alarme. […] Elle est très contagieuse et provoque une mortalité considérable chez les oiseaux. Mais il peut aussi avoir la capacité de franchir la barrière des espèces et de faire le saut vers l’homme, il est facilement mutable et peut aussi se recombiner. En d’autres termes, il peut générer des virus grippaux mixtes. Cependant, la transmission à l’homme n’est pas facile. Un contact étroit, direct et durable est nécessaire pour qu’il se produise.

Ou sera-ce le virus du sida qui sera utilisé pour faire avancer l’imposition du passeport « vert » et du « contrôle » de « l’excès » de population? Les nouvelles à ce sujet ne sont pas non plus très rassurantes : trop d’allusions ces derniers temps, de la part de hauts responsables politiques, au danger que représente à nouveau le sida. L’article lié se termine ainsi: « La mort de Luc Montagnier tombe à point nommé, n’est-ce pas? La même que celle de Kary Mullis, inventeur des tests PCR [mort] avant leur introduction généralisée ».

Oui, ces décès sont effectivement « opportuns », deux de plus parmi les nombreux décès « opportuns » de ces derniers temps! La mort de Luc Montagnier, c’est la mort de quelqu’un qui devait témoigner dans les prochains jours devant le tribunal de Nuremberg-2, de quelqu’un qui a déjà dénoncé que dans le génome du virus Covid on avait introduit une séquence du génome du virus du sida, de quelqu’un qui a reçu le prix Nobel précisément pour avoir découvert le virus du sida.

 

Les grands « philanthropes » arrogants sont impuissants face à l’Élan vital

Ce sont des élites de « parvenus » très intelligents, comme tous les bons psychopathes, mais profondément ignorants: dans ces êtres, il n’y a pas la moindre composante de ce que tant de civilisations ont appelé la sagesse, si intimement liée à l’empathie et à l’intuition. Leur arrogance leur fait mépriser ces choses, ainsi que l’existence supposée de l’Élan vital dont parlait Henri Bergson en 1907 dans son livre L’Évolution créatrice, une force qui serait le moteur de l’évolution et du développement des organismes, une force que Bergson a étroitement liée à la conscience. Un Élan vital qui, depuis le Big Bang lui-même, grâce aux constantes physiques fondamentales qu’il contient déjà, conduit l’Univers vers la vie, vers la conscience et vers une plénitude (pour ces élites absolument inconnues) faite d’amour et de félicité.

Bien que devant la figure de Jésus de Nazareth ils ne sont pas très rassurés. Je ne dirais pas qu’ils la méprisent également. Je dirais plutôt qu’ils la détestent. Et, en fait, ils la craignent. Il est le Christ cosmique d’un autre Français, Teilhard de Chardin, l’Alpha et l’Oméga du livre de l’Apocalypse (chapitre 22, verset 13), la destinée finale à laquelle nous conduit l’Élan vital. Comme leurs ancêtres nazis, ils sont attirés par l’ésotérisme, ils recherchent des objets comme le Saint Graal ou tentent de forcer par tous les moyens ce qui ne pourra jamais être forcé, car ils savent qu’ils ne sont que des mortels.

Pleins de perversions et de méchancetés, ils tentent de contrôler par des moyens ésotériques ce qu’ils savent être au-delà d’eux. Ces personnes semblent être l’incarnation même de ces êtres spirituels mythologiques (ou réels?) qui se croyaient tellement supérieurs à tout et à tous qu’ils ont même choisi d’affronter Celui qui les a créés. Leurs réactions face à Jésus me rappellent les textes évangéliques qui racontent leurs rencontres avec les démoniaques.

En voyant des êtres comme ceux qui composent ces élites, prêts même à financer des expériences sur le gain de fonction du dangereux virus de l’influenza aviaire, il n’est pas surprenant que les visions décrites dans le livre de l’Apocalypse commencent à nous apparaître comme bien plus que des visions purement fantaisistes. Mais Jésus de Nazareth a déjà triomphé de ces gens pour toujours. Son histoire est la plus prodigieuse et la plus émouvante jamais imaginée. Il s’agit d’une histoire déjà racontée il y a près de deux millénaires, mais tellement nouvelle qu’elle est encore presque inédite.

C’est l’histoire de la façon dont ce Mystère d’où est issu notre vaste et insondable univers a décidé de prendre notre chétive et fragile nature humaine. C’est l’histoire de comment cette Conscience-Béatitude intemporelle et immatérielle, qui dépasse toute compréhension, a décidé de planter sa tente parmi les nôtres. Le Verbe qui existait au Début et qui a voulu habiter parmi nous. C’est l’histoire du « Shalom » du Ressuscité, une salutation prophétique efficace qui accomplit ce qu’elle proclame.

Le temps de Dieu n’est pas le nôtre, mais j’éprouverais une grande satisfaction à voir le jour où ces grands criminels seront démasqués et même certains d’entre eux traduits en justice et condamnés pour les énormes souffrances qu’ils ont causées. Tout comme l’ensemble de nos autorités politiques, sanitaires et les responsables des médias, dont le comportement indigne, pour le moins soumis, ne peut être qualifié que de collaborationniste. Un terme qui évoque l’une des pages les plus tristes de l’histoire de pays comme la France.

Le langage que ces personnes comprennent le mieux est peut-être celui de la peur. La peur qu’ils ont provoquée dans la société. La peur qui les rend si soumis à la mafia des grandes « familles » mondialistes. C’est pourquoi je comprends, même si je ne suis pas d’accord, des propositions aussi radicales que celles de Riccardo Bosi, ancien lieutenant-colonel australien et leader du parti politique Australia One: il affirme qu’en cas de victoire électorale de son parti, des tribunaux militaires et la « peine capitale » seront appliqués aux membres du gouvernement et des médias qui ont été impliqués dans le grand complot du Covid-19.

Comme je le dis depuis des années, un grand nombre de nos politiciens sont une création de ces élites. Le Premier ministre du Canada, aujourd’hui si actuel, en fait partie, comme le dénonce son propre demi-frère. Mais le nombre de dirigeants actuels présélectionnés et prêts à obéir sans poser de questions en cette heure des grands « philanthropes », si critique pour l’humanité, est bien plus important que nous ne le soupçonnons.

A leur tour, de nombreux journalistes, comme tant de manipulateurs qui s’érigent en « vérificateurs » de l’information et de la vérité, ou comme un certain Manuel Asende, qui dans son récent article dans El País dénigre de la manière la plus misérable le regretté Luc Montagnier, mériteraient tout autant notre répudiation et notre condamnation. Tout au plus, si certains d’entre eux ont agi par ignorance, cela devrait être qualifié d’ignorance coupable: dans la position qu’ils occupent, c’est une obligation morale de s’informer au-delà de la propagande de tous ces médias dont les actionnaires principaux sont les mêmes que ceux des grandes entreprises pharmaceutiques (Black Rock, Vanguard, etc.).

Julian Reichelt, rédacteur en chef du prestigieux magazine allemand Bild, a récemment publié une déclaration au nom du magazine dans laquelle il s’excuse auprès des enfants, comme le gouvernement fédéral ne le fait pas, pour le bombardement propagandiste et non scientifique auquel ils ont été soumis pendant la pandémie. De son côté, l’important quotidien danois Ekstra Bladet s’est excusé d’avoir suivi de manière « hypnotique » les récits du gouvernement sur la pandémie de Covid-19, admettant qu’il a échoué et qu’il a été le transmetteur des mensonges des autorités politiques. Mais il ne semble pas que dans notre Espagne, où les politiciens se vantent que les négationnistes anti-vaccins ne sont qu’une petite minorité, il existe des professionnels du journalisme ayant l’honnêteté et la dignité nécessaires pour un tel geste.

Et, en mémoire et en réparation de tant de victimes, j’espère aussi que tous ceux qui, élus par une partie de la société ou occupant une fonction publique, sont restés silencieux face aux décisions soumises des partis majoritaires ou n’ont pas pu voir ce qui se passait, assumeront un jour publiquement et volontairement leur part de responsabilité pénale. Ceux qui confondent la non-violence avec un manque d’énergie dans la « lutte » pour la justice n’ont rien compris à celle-ci. Et ceux qui n’ont pas encore compris que le prophétisme biblique énergique était à la base même de la mission de Jésus, je crois qu’ils n’ont pas encore compris non plus ce que signifie être chrétien.

La liturgie de ce dimanche même a pour Évangile le texte des Béatitudes de l’Évangile de Luc (chapitre 6, versets 20-26). La scène est investie d’une solennité particulière qui conduit à la considérer comme une sorte de proclamation programmatique de sa mission messianique. Contrairement au texte de l’Évangile de Matthieu, l’Évangile de Luc ne comporte pas seulement quatre béatitudes, mais autant de malheurs. Jésus nous dit non seulement de belles choses, comme le fait que le Royaume des Cieux appartient aux pauvres, mais aussi des choses plus terribles: « Mais malheur à vous qui êtes riches, car vous avez reçu votre consolation; malheur à vous qui êtes rassasiés, car vous aurez faim; malheur à vous qui riez, car vous serez affligés et pleurerez; malheur quand tous les hommes diront du bien de vous, car c’est ainsi que leurs pères ont traité les faux prophètes ». Et lorsque sa propre mère, Marie, proclame avec force que « [le Seigneur] renverse les puissants de leurs trônes » (Luc 1, 47-55), elle est l’incarnation même de la spiritualité à la fois miséricordieuse et énergique des anavim de Yahveh juifs de l’époque, leurs contemporains pauvres et sans défense.

L’importance de connaître l’origine du SARS-CoV-2 et la planification du Covid-19

Dans les sections précédentes, j’ai voulu montrer que les faits nous amènent nécessairement à la conclusion que l’imposition absurde et criminelle de la vaccination de masse et du passeport « vert » ne peut être motivée non pas par des préoccupations sanitaires mais par d’autres, véritablement innommables. A partir de maintenant, j’ai l’intention de montrer que, de la même manière, les faits nous amènent nécessairement à la conclusion que le SARS-CoV-2 a été créé en laboratoire et que la pandémie qu’il a provoquée « grâce » à la gestion imposée par les élites mondialistes (gestion accompagnée de mandats aussi incompréhensibles que l’interdiction des traitements efficaces existants), a été longuement et soigneusement planifiée.

Dans les premières semaines de la pandémie, une amie sincèrement préoccupée par la souffrance des autres et très convaincue des grands avantages que les vaccins ont apportés à l’humanité depuis leur découverte, considérait que la recherche de l’origine du SARS-CoV-2 était une perte de temps. L’important pour elle était d’arrêter la pandémie le plus vite possible. Et, bien sûr, selon son opinion télévisée, cela ne peut être réalisé que par une vaccination massive.

La tradition veut qu’un jour le Bouddha ait répondu aux questions sur la libération de la douleur, questions trop théoriques, par l’histoire de l’homme blessé par une flèche. Un homme qui, au lieu de chercher rapidement à se faire soigner (le Bouddha faisait référence à l’illumination ou à l’expérience de la nature essentielle qui nous libère de la souffrance), a passé son temps à réfléchir à l’identité de l’agresseur, à ses motivations, etc.

Comme les paraboles, les fables ou autres histoires figuratives, ce récit a aussi sa morale, utile pour extraire un certain enseignement. Mais la réalité est bien plus complexe que ce que décrivent cette histoire et d’autres histoires figuratives. Par exemple, l’archer, depuis une position et avec des intentions qu’il serait très important de connaître, seul ou en compagnie d’autres personnes, pourrait déjà être en train de préparer d’autres attaques sur d’autres compagnons de l’homme blessé. Cela ne serait pas très éloigné de ce qui se passe avec le Covid-19.

Réduire toute la complexité des processus spirituels à l’expérience individuelle de l’illumination relève tout simplement du réductionnisme. Tout comme le désintérêt pour la connaissance de l’origine du Covid-19. Contrairement à l’opinion de mon ami, mon objectif dans cette deuxième section de la deuxième partie, et surtout dans la troisième section qui va suivre, est avant tout d’essayer de mettre en évidence l’importance de connaître à la fois l’origine du SARS-CoV-2 et les subtilités de la planification de la gestion criminelle de la pandémie. Cette dernière comportera une brève récapitulation actualisée de divers faits déjà abordés dans les écrits précédents.

Il est très important de savoir que ce virus a été créé artificiellement et que cette pandémie criminelle, criminelle surtout « grâce » à sa gestion perverse, est une œuvre d’ingénierie sociale, médiatique et de toutes sortes. J’ai l’intention d’essayer de montrer, avec l’aide des experts les plus authentiques, que tout ce que l’humanité subit ces deux dernières années est en réalité l’exécution d’un plan long et détaillé. En outre, j’ai l’intention de montrer que la pandémie actuelle n’est qu’une étape d’un projet beaucoup plus vaste et plus ambitieux.

Un projet de domination qui se veut le plus global possible et dans lequel il faut inclure des développements tels que les provocations croissantes faites à la Russie tant au Kazakhstan qu’en Ukraine, un conflit dans lequel la question de la guerre biologique est également présente. Les laboratoires biologiques cachés en Ukraine sont une réalité extrêmement dangereuse. C’est un projet de domination qui approche de sa dernière heure, L’heure des grands « philanthropes ».

À ce stade, nous sommes une fois de plus confrontés à l’énorme et extrêmement grave problème d’enlèvement d’informations. S’il s’agissait d’une pandémie naturelle ou accidentelle, pourquoi tant de mensonges, de désinformation et de silences? C’est un battage de propagande comme il n’y en a jamais eu dans l’histoire. Coordonnés et à l’unisson, les médias mainstream prononcent chaque jour leur verdict dans tout l’Occident: ceux qui ne sont pas du tout d’accord avec leur doctrine ne sont que des hommes des cavernes qui croient que la Terre est plane, des négationnistes stupides, des fanatiques anti-vaccins. Ils en sont venus à créer une « réalité » parallèle à la réalité qui ne semble être affectée par aucun des nombreux faits qui la remettent de plus en plus en question. Mais, étonnamment, la grande masse de la société a opté pour cette « réalité » parallèle et vit toujours dans une sorte de grande bulle télévisuelle.

Mais ce qui me surprend le plus, c’est l’efficacité avec laquelle ces élites ont totalement disloqué la gauche (la vraie gauche, pas la gauche institutionnelle, qui est directement à leur service). Une gauche qui semble incapable de sortir de schémas réducteurs et dépassés. Cela me rappelle trop l’attitude réactionnaire de l’establishment scientifique mondial chaque fois qu’il a dû faire face à une nouvelle hypothèse (c’est notamment arrivé avec l’émergence de la physique relativiste et quantique) beaucoup plus intégrative que les paradigmes dominants.

La stratégie « magistrale » consistant à faire de la « Santé » ou de la « Science » une sorte de nouvelle religion universelle incontestable est la dernière des grandes stratégies réussies de cette élite d’êtres « supérieurs ». Les premières ont servi à financer des guerres et à créer ou à prendre le contrôle de banques centrales. Plus tard, ils en ont conçu et réalisé d’autres, comme le contrôle des canaux d’information et de communication ou celui de la séduction, de l’infiltration et finalement du contrôle des forces politiques progressistes ou du Vatican lui-même.

J’avoue qu’à l’époque, lorsqu’il y a plus de dix ans, j’ai transformé le long premier chapitre du livre L’heure des grands « philanthropes » en une liste de kidnappings perpétrés par les élites mondialistes (le kidnapping de la démocratie, de l’économie, de l’éthique, de la raison, des grandes ONG de défense des droits de l’homme, de l’information, de l’éducation, de la dignité et de l’espoir), je n’avais pas inclus la Santé. Mais au moins, j’ai réagi rapidement au moment même où la pandémie est apparue.

Il est vite apparu qu’un tel enchaînement d’événements pouvait difficilement être un accident. En fait, dès le début du mois de mars 2020, j’ai écrit le premier article sur la pandémie et l’ai intitulé de manière assez révélatrice: « Coronavirus: le monde est-il entre les mains de vrais fous? ». Ce que je me propose de faire maintenant et dans la prochaine section 3, c’est de confirmer et de développer cette intuition initiale.

PROJET VERITAS: Documents militaires exposés sur les gains de fonction qui contredisent le témoignage, sous serment, d'Anthony Fauci (janvier 2022)